Yves Germain, un bourreau des temps modernes : Un acte sauvage qui exige une punition exemplaire

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Dans un acte rappelant les heures les plus sombres de l’histoire humaine, Yves Germain, ancien directeur du Centre National des Équipements (CNE), est au cœur d’un scandale révoltant et indigne de notre époque. Une courte vidéo, massivement relayée sur les réseaux sociaux, montre cet individu en train de bastonner un homme sans défense avec un bâton, sous le regard passif d’un caméraman qu’il aurait lui-même sollicité pour immortaliser la scène de violence.

L’esclavagisme, toujours vivant sous une autre forme à Mirebalais

Les images sont insoutenables : Yves Germain ordonne à cet homme, réduit à l’état d’esclave, de compter les coups de bâton qu’il reçoit, jusqu’à cinquante. L’agression brutale, filmée délibérément, ne laisse aucun doute sur l’intention de l’agresseur : asseoir une autorité absolue sur ses victimes, comme un maître sur ses esclaves.

Son prétexte ? L’homme aurait empêché un bœuf d’aller manger dans le jardin d’autrui. Selon les déclarations de Germain dans la vidéo, il prétend que cet homme aurait dû, chaque soir, laisser les bœufs détruire les récoltes des voisins. Une justification absurde et cruelle qui montre à quel point cet individu méprise non seulement ses subordonnés, mais aussi les droits humains les plus fondamentaux.

Un bourreau qui agit en toute impunité

Au XXIe siècle, cet acte barbare soulève une question fondamentale : comment un homme comme Yves Germain ose-t-il exhiber publiquement un comportement digne des pires bourreaux d’une époque révolue ? L’esclavage, aboli depuis des siècles, semble pourtant toujours vivace dans les pratiques de cet ancien directeur du CNE.

Selon des témoignages, cet individu aurait instauré un climat de terreur au sein des hôtels qu’il a construits grâce aux fonds PetroCaribe qu’il aurait détournés lorsqu’il dirigeait le CNE. Fouettant les employés qui refusaient de se plier à ses caprices, il les traitait comme des esclaves, dépourvus de droits et de dignité.

L’homme, connu comme un « bandit légal » affilié au clan corrompu du PHTK, aurait accumulé une fortune colossale grâce à des détournements de fonds PetroCaribe, au détriment de l’État haïtien et de sa population. Cette richesse frauduleuse lui aurait permis de régner en maître absolu dans la région de Mirebalais, terrorisant les habitants et consolidant son pouvoir par la violence.

Un appel urgent à la justice

Face à ces actes révoltants, il est impératif que la justice intervienne. Le parquet de Mirebalais, à condition qu’il ne soit pas sous le contrôle de cet homme, doit immédiatement ouvrir une enquête sérieuse et impartiale. Le commissaire du gouvernement, en tant que protecteur des citoyens, a l’obligation de convoquer Yves Germain pour répondre de ses actes devant les tribunaux.

Le nouveau Protecteur du Citoyen, Maître Morin, doit également se saisir de ce dossier pour garantir que justice soit rendue. Les organisations de défense des droits humains doivent se mobiliser pour protéger cette victime vulnérable et dénoncer cet acte de barbarie avec la plus grande fermeté.

Une société en quête de justice et de dignité

Ce scandale illustre une réalité accablante : malgré les progrès réalisés en matière de droits humains, des pratiques proches de l’esclavage subsistent encore dans certains cercles de pouvoir. Yves Germain, par ses actes dignes d’un bourreau des temps anciens, incarne une régression sociale et morale intolérable qui doit être condamnée sans équivoque.

une justice exemplaire et populaire pour Yves Germain

Il est temps que la justice haïtienne prouve qu’elle est capable d’agir en faveur des opprimés et contre ceux qui se croient intouchables. Ce n’est qu’à travers des sanctions légales exemplaires que des hommes comme Yves Germain pourront être arrêtés dans leurs abus de pouvoir.

Cependant, si la justice tarde ou échoue, il appartient aussi à la population Mirebalaisienne de montrer son indignation et de mobiliser tous les moyens pacifiques pour exiger des comptes. Des actes aussi barbares doivent susciter une condamnation unanime et des actions collectives, afin qu’aucun bourreau ne puisse plus prospérer en toute impunité dans une société qui aspire à la modernité, à la justice et à l’équité.

La justice légale et la pression populaire doivent agir de concert pour faire de cet exemple un précédent dissuasif. Yves Germain doit non seulement être jugé, mais également répondre à la colère d’un peuple qui refuse de tolérer ces pratiques rétrogrades et inhumaines.

Rédaction : Zantray News.

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