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L’hôpital La Paix, l’un des principaux établissements de santé du pays, se trouve dans une situation de saturation extrême en raison de l’escalade de la violence et des actes de banditisme. Ce week-end, l’hôpital a accueilli 30 blessés par balles, un chiffre alarmant qui met en lumière l’intensification des violences à travers le pays.
Parmi ces victimes, un enfant a été gravement touché à la tête par une cartouche, un incident particulièrement tragique qui souligne la violence aveugle des attaques. Trois personnes ont succombé à leurs blessures, dont deux policiers, qui ont été pris pour cible lors d’échanges de tirs avec des bandits. Ces policiers faisaient partie des forces de sécurité déployées pour tenter de contenir les vagues de violence croissantes.
La situation à l’hôpital La Paix est d’autant plus critique que le nombre de victimes continue d’augmenter, rendant l’accès aux soins de plus en plus difficile pour les autres patients. Les équipes médicales, déjà éprouvées par cette surcharge, se battent pour apporter des soins dans des conditions extrêmement difficiles.
Face à ce contexte de violence généralisée, les autorités appellent à une réponse collective et urgente pour lutter contre la montée du banditisme et protéger la population. En attendant, les hôpitaux du pays se retrouvent en première ligne, confrontés à des défis sans précédent.
Rédaction Zantray News
