L’OEA observe que les conditions actuelles en Haïti compliquent la tenue d’élections avant février 2026. L’organisation affirme que les retards constatés sont liés à la crise sécuritaire et institutionnelle.
Albert Ramdin exprime son inquiétude à l’idée d’une absence de relais politique à l’issue du mandat du Conseil présidentiel de transition. Il considère que cette situation pourrait provoquer des tensions supplémentaires.
La préparation du processus électoral reste limitée par le manque de stabilité administrative. Des retards se manifestent dans la mise en place des structures nécessaires aux opérations de vote.
La persistance de la violence armée empêche également la planification de déploiements logistiques. Les acteurs de terrain doivent composer avec des zones difficiles d’accès et des menaces constantes.
Une rencontre prévue le 12 novembre 2025 est perçue comme un moment clé pour définir les prochaines étapes. Les discussions doivent permettre de déterminer des actions immédiates réalisables malgré le contexte.
L’OEA insiste sur l’importance de concertation et de coopération entre les autorités haïtiennes et les partenaires internationaux. Elle rappelle que seule une stratégie commune peut réduire le risque d’un vide politique prolongé.
Rédaction: Zantray News Haïti