FRAPPES AMÉRICAINES SUR L’IRAN, L’ÉCHELLE RÉGIONALE TREMBLE

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Dans un tournant historique et explosif, les États-Unis ont lancé dans la nuit du 21 juin une attaque aérienne de grande envergure contre trois sites nucléaires stratégiques en Iran. L’opération, menée par des bombardiers furtifs B-2 équipés de bombes anti-bunker GBU-57, a ciblé les installations de Fordow, Natanz et Ispahan. Donald Trump, qui a personnellement confirmé l’opération, a déclaré : « Les installations sont anéanties. L’heure est à la paix », tout en avertissant Téhéran de représailles « écrasantes » en cas de riposte. Tous les appareils sont rentrés à leur base sans encombre.

La réponse iranienne ne s’est pas fait attendre. Le Guide suprême Ali Khamenei a promis des « coups plus durs que jamais » contre les États-Unis, dénonçant un « acte barbare » à travers l’agence atomique nationale. Un député de Qom a toutefois assuré qu’aucune fuite radioactive n’avait été détectée sur les sites visés. Téhéran insiste : ses activités nucléaires continueront coûte que coûte.

Sur le plan régional, les conséquences immédiates se font déjà sentir. À Bagdad, l’ambassade américaine est encerclée par des forces irakiennes, révélant la peur d’une escalade. En Israël, au contraire, l’heure est au triomphalisme : Benyamin Netanyahu a salué une « manœuvre historique » et un « tournant audacieux pour la paix ». Quatorze avions-cargos américano-allemands ont atterri en renfort, preuve d’une coordination militaire étroite. Des sources sécuritaires révèlent que les deux alliés auraient délibérément semé la confusion sur leurs intentions afin de neutraliser toute riposte iranienne.

À New York, le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres tire la sonnette d’alarme, mettant en garde contre une « spirale du chaos ». Aux États-Unis, les réactions sont violemment partagées. Le sénateur Bernie Sanders fustige une attaque « inconstitutionnelle », tandis que le républicain Mike Johnson applaudit : « Trump tient ses promesses ».

Ajoutant à la tension, les Houthis du Yémen menacent désormais de bloquer la mer Rouge, accentuant le risque d’embrasement régional.

Dans ce contexte brûlant, une question domine : quelle sera la réponse de l’Iran ? Cette frappe préventive, brisant des décennies de retenue diplomatique, place toute la région au bord de l’abîme. Comme l’a résumé Donald Trump : « L’Iran doit choisir : la paix ou la tragédie. » Les heures à venir pourraient décider de l’avenir du Moyen-Orient.

Mozard Lombard,

mozardolombardo@gmail.com

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