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Alors qu’Haïti s’enfonce chaque jour un peu plus dans le chaos et l’instabilité, la gestion de la diplomatie haïtienne est incarnée par un homme dont l’incompétence ne fait plus débat : Jean-Victor Harvel Jean-Baptiste.
Son voyage aux États-Unis pour assister à la 56ᵉ Session spéciale de l’Assemblée générale de l’Organisation des États Américains (OEA) ne suscite aucun espoir, aucune attente, aucun résultat concret. Pire encore, Marco Rubio, haut responsable de la diplomatie américaine, a refusé de le rencontrer, mettant en lumière son absence totale de crédibilité. Un affront diplomatique qui en dit long sur son insignifiance.
Un vétéran incompétent : 30 ans d’expérience pour rien
Jean-Baptiste n’est pas un novice dans le milieu diplomatique. Il traîne derrière lui des décennies d’expérience, et pourtant, il reste un incapable avéré, un nullard de la politique étrangère haïtienne.
Que retenir de son parcours ? Quels sont ses accomplissements ? Rien. Des années à graviter dans la diplomatie haïtienne sans jamais prouver la moindre compétence. Son cas illustre l’un des grands fléaux du pays : en Haïti, on peut passer 30 ans dans un domaine et rester aussi médiocre qu’au premier jour.
Jean-Baptiste incarne cette génération de “professionnels” qui confondent longévité et compétence. Son échec n’est pas un accident, c’est le résultat d’une carrière fondée sur l’inaction, le favoritisme et l’opportunisme.
Une diplomatie qui ne sert qu’à encaisser des per diem
Si Harvel Jean-Baptiste n’a jamais su défendre les intérêts d’Haïti sur la scène internationale, il a en revanche excellé dans l’art de collectionner les per diem. Chaque déplacement à l’étranger est une nouvelle occasion pour lui de remplir ses poches, pendant que le peuple haïtien affronte la misère, la violence et l’insécurité.
Le ministre n’a aucun agenda diplomatique sérieux. Ses voyages ne produisent aucun impact, aucune avancée pour Haïti. Mais tant que les per diem tombent, le reste lui importe peu.
Comment peut-on prétendre représenter un pays en crise alors que le principal souci de sa mission diplomatique est de s’assurer un séjour confortable aux frais de l’État ?
Un ministre méprisé, une diplomatie en ruines
Le refus des États-Unis de lui accorder la moindre audience est un camouflet sans précédent. Quand un ministre des Affaires Étrangères n’est même pas reçu par ses homologues, c’est bien la preuve qu’il ne pèse rien sur l’échiquier international.
Aujourd’hui, sous sa direction, la diplomatie haïtienne n’existe tout simplement plus. Haïti est devenue un pays sans voix, sans influence, sans alliés.
Et face à cet échec flagrant, Harvel Jean-Baptiste n’a qu’une seule réponse : le silence et la fuite en avant. Aucune explication, aucune justification, juste des voyages inutiles et des poches qui se remplissent.
Harvel Jean-Baptiste : l’homme de trop
Il est grand temps que les autorités haïtiennes cessent de tolérer cette mascarade. Haïti ne peut plus se permettre d’être représentée par un diplomate fantôme, méprisé par ses pairs et déconnecté des réalités du pays.
Le ministère des Affaires Étrangères doit être dirigé par une personne compétente, capable de défendre Haïti avec force et crédibilité. En l’état actuel, Harvel Jean-Baptiste ne répond à aucun de ces critères.
Haïti n’a plus besoin de bêtes de per diem, mais de vrais patriotes capables de redresser une diplomatie en ruines.
Rédaction : Zantray News