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En ce jour où nous commémorons l’assassinat tragique de Jean Jacques Dessalines, père de la patrie, il est déplorable de constater que les dirigeants actuels, qu’ils soient de CPT ou du gouvernement, s’enfoncent dans l’ignominie. Leur incapacité à unir et à gouverner se manifeste à travers une division sordide, alimentée par une soif de pouvoir qui s’apparente plus à une farce qu’à une véritable autorité.
Il est évident qu’il n’y a ni véritable présidence de la République, ni gouvernement d’État. Les actuels dirigeants semblent être des marionnettes, installées dans un espace de Lilliput, obsédés par leurs ambitions personnelles plutôt que par le bien commun. Leur arrogance les empêche de reconnaître le danger de provoquer leurs adversaires, les poussant ainsi à perdre la face en public.
La direction d’un État exige bien plus qu’une simple gestion ; elle requiert une élévation d’âme et une noblesse d’esprit, au-delà des mesquineries et des turpitudes. L’État doit incarner la majesté, et ses serviteurs doivent faire preuve de hauteur.
Alors que nous honorons la mémoire de Dessalines, il est urgent que nos dirigeants prennent conscience de leur rôle et de leurs responsabilités. La vraie gouvernance repose sur la dignité et le service envers le peuple, des valeurs qui semblent aujourd’hui oubliées.
Rédaction Zantray News